Ici, je vous posterai tous mes travaux et mes expériences, qui témoignent de mon évolution. Des vidéos et des photos au travers desquelles je souhaite me montrer telle que je suis, toujours en cherchant à me perfectionner.
J’ai réalisé ce projet dans le but du concours «(em)portable » organisé par le SITEM (salon international des équipements muséo-graphiques).
Le principe du concours étant de mettre en avant les musées et la culture, j’ai voulu représenter ma pensée et surtout celle des autres, le rapport que chacun crée avec une même œuvre. C’est cette capacité à créer un lien, une connexion avec quelque chose, qui est à la vue de tous, qui m’a particulièrement intéressé et que j’ai essayé d’exploiter.
Pour ce qui est du résultat du concours, le verdict n'est pas encore tombé !
Cette production à été réalisée dans le cadre d’un stage avec l’association Images et Mots, plus précisément avec Emmanuelle Jay et Avril Dunoyer.
Le thème du stage était une lettre-cinéma, ainsi nous devions travailler la voix off et l’écriture d’une lettre. En équipe avec Avril De Choudens, nous avons rapidement choisi de parler de la perte de l’enfance et du passage à l’âge de (jeune) adulte, car cela faisait partie de nos préoccupations liées au passage en études supérieures. Ainsi, nous sommes passées à l’écriture en choisissant de structurer notre texte comme les étapes d’un deuil pour que ce soit plus limpide.
Cette vidéo est donc un film qui nous ressemble et qui traite de nos pensées et préoccupations.
Je ne suis intervenue sur ce projet que pour le montage. En effet, celui-ci a été réalisé dans le cadre d’un devoir scolaire auquel j’ai proposé mon aide. Ainsi nous avons : Avril De Choudens, Zoé Mauriat et Noémie Ren à la réalisation.
L’exercice était un devoir d’anglais dans lequel il était demandé de présenter un médicament inventé et son risque si celui-ci était consommé en trop grande dose.

Les photos que vous pouvez voir sont issues d’un stage en école Prép’art à Paris où nous avons expérimenté la photographie.
L’exercice était assez libre, nous devions essayer d’exploiter ce que nous avions sous la main pour réaliser des photos : des chaises, la lumière, des livres, les gens…















